La création graphique et numérique

CMQ creation num siteLe lycée Eugénie Cotton appartient au campus des métiers et des qualifications de la création numérique, image et son. Dans ce domaine il offre un large éventail de formations technologiques et professionnelles :

 

 

Atelier design circulaire avec Jeu de Matières

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Lundi 2 juin, les élèves de seconde générale option design et de terminale Bac Pro MarVi -Marchandisage Visuel- ont participé à un atelier inter-filières inédit animé par l’association Jeu de Matières. Cette matinée, placée sous le signe de la création responsable, a permis de croiser les regards, les compétences et les sensibilités autour d’un enjeu essentiel : le rôle du design dans l’économie circulaire.
 
Après une présentation de l’association et de ses engagements pour le réemploi des chutes textiles, les 50 élèves ont été répartis en deux groupes, alternant deux ateliers complémentaires.
 
Le premier proposait la conception et la fabrication collective d’objets éco-conçus à partir de matériaux de réemploi (chutes de cuir, perles, pierres). Ce fut l’occasion d’explorer concrètement des savoir-faire liés aux métiers d’art et à la fabrication textile, et de découvrir de nouvelles pratiques manuelles et techniques.
 
Le second, plus prospectif, invitait les élèves à imaginer des pistes créatives pour valoriser des chutes textiles issues de la confection, en s'appuyant sur leur sens du visuel et leur inventivité.
 
Les élèves ont documenté leurs productions par une série de photographies, révélant à la fois l’esthétique de leurs objets et le soin apporté à leur mise en scène.
Au-delà des réalisations concrètes, c’est une véritable démarche de design circulaire qui a été expérimentée : penser autrement la matière, créer à partir de l’existant, inventer de nouveaux usages.
 
Un grand merci à l’association Jeu de Matières pour cette intervention de qualité, et bravo aux élèves pour leur implication, leur créativité… et leur engagement !
 
 
Texte et Photos de Sophie Rueter, professeure d'arts appliqués
 

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Les DNMADE à la découverte de la magie nouvelle

MAGIEPossible ou impossible ? Le spectacle proposé aux DNMADE fin mars à la Villette, On m’a trouvée grandie de Valentine Losseau, nous plongeait au cœur d’un hôpital psychiatrique du début du XXe siècle avec un jeu d’apparitions, de disparitions et de lévitations très troublant.

Une étudiante de troisième année de DNMADE raconte cette expérience de l’étrange :

"J’ai été fascinée par les jeux de disparition et d’apparition, les gestes chorégraphiés, l’ambiance sonore, la lumière, les dialogues farfelus et presque cohérents. À un moment, je me suis perdue dans la psyché des personnages ; je ne pouvais plus savoir s’ils étaient fous ou non et s’ils appartenaient à une réalité ou à un rêve".

L. Dion, professeure de lettres

 

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Forum Post DNMADe 2024

forumXDmontage1La troisième édition du Forum post DNMADe a eu lieu cet automne.
 
D’anciens étudiants de Cotton et deux étudiants actuellement de DSAA Design Éditorial sont venus nous raconter leurs parcours.
Merci à tous pour ces témoignages édifiants ! 

Cela permet à chacun d’envisager l’après-diplôme avec un éclairage plus concret, d’interroger sa posture et son projet professionnel. 

Ce temps de partage a été l’occasion de faire un point sur le suivi de cohorte, nous pouvons nous réjouir de la diversité des parcours des diplômés du DNMADe Cotton.
 
Les sensibilités graphiques et les envies professionnelles de chacun se réalisent à travers des poursuites joliment variées.

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Du bruitage à la danse

mosAu Théâtre de la Bastille, quelques étudiant.es de DNMADE ont pu découvrir le spectacle Mos de la chorégraphe Ioanna Paraskevopoulou, entre le bruitage de cinéma et la performance de claquettes. 

Un étudiant de deuxième année de DNMADE fait part de ses impressions :

«En sortant de la salle, mon incompréhension envers cette représentation s'est transformée en admiration : les comédiens jouant avec l'espace de la salle avec une aisance majestueuse, la mise en scène nous forçant à regarder derrière nous, fermer les yeux, imaginer ou encore se focaliser soit sur les comédiens soit sur l'extrait de film projeté... Tous les aspects d’un spectacle sont mis en avant, dans une ambiance où l'humour et le dérangeant s'entremêlent, résultant en une performance artistique mémorable.»

L. Dion, professeure de lettres

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Petite Friture - Faire émerger le bien du beau

LOGO PFLe mardi 10 décembre, les élèves des trois classes de Terminale STD2A et de la classe de Terminale Bac Pro Marchandisage Visuel ont eu l’opportunité de découvrir l'univers de Petite Friture, une entreprise créative et inspirante située à Montreuil.

Petite Friture est un éditeur de design français, fondé il y a 15 ans par Amélie du Passage. L’entreprise réunit des designers de renom et des fabricants majoritairement basés en Europe pour créer des collections de mobilier, de luminaires et d’objets décoratifs uniques. Ces collections sont vendues à travers le monde, via des partenaires commerciaux (boutiques, sites internet, architectes).

Sa raison d’être : « Faire émerger le bien du beau ».

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Une sortie en mémoire du génocide au Rwanda 

Sans titreLe 10 décembre, quelques étudiantes de DNMADE et de DSAA ont assisté au Théâtre des Bouffes du Nord à une lecture en musique du texte de Dorcy Rugamba, un intellectuel rwandais, autour du génocide de 1994 au Rwanda : Hewa Rwanda. Lettre aux absents, éd. JC Lattès, 2024. Une étudiante en parle : 

"‌La pièce Hewa Rwanda était dans l'ensemble une belle mise en scène pour narrer ce génocide, avec un texte bien écrit.  Le musicien/chanteur aux côtés de l'auteur était une pure merveille, il temporisait le récit, accentuait les points forts, et sa voix était sublime. » 

Miyako, DNMADE 1

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